Le risque de  violences sexuelles est très fortement accru si :

- les enfants/ados sont des filles,

- les enfants/ados ne correspondent pas aux genres et à l'orientation amoureuse ou sexuelle dominante,

- les enfants/ados sont handicapé-es, notamment psychiquement,

- les enfants/ados sont pauvres, voire à la rue...

- les enfants/ados subissent déjà des violences intra-familiales,

- les enfants/ados subissent déjà des violences sociales, à commencer par le racisme

- les enfants/ados sont privé-es de leur droits élémentaires, ciblé-es en tant que tels par le banditisme, dans les guerres, surtout à caractère raciste/génocidaires - et toujours plus criminalisé-es.

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Nous parlons là d'une continuité de délits et de crimes qui se développent sur la bases de violences et de dominations "ordinaires". Ce sont des situations qui mettent en péril la vie et le bien-être fondamental des enfants. La base de nos missions est de les en protéger.

Et pour un-e enfant qui les vit, toutes ces violences sont liées : protéger un-e enfant des violences sexuelles, c'est la/le protéger de toutes ces autres violences qui dans la réalité de l'enfant /de l'ado forment un continuum.